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Le PDG d’Activision, Bobby Kotick, ne démissionnera pas si l’acquisition de Microsoft n’est pas approuvée – Rumeur

Activision

Le PDG d’Activision Blizzard, Bobby Kotick, a toujours été une figure controversée, c’est le moins qu’on puisse dire, et au cours des deux dernières années en particulier, sa position au sein de l’entreprise a souvent été publiquement remise en question. Au milieu de rapports alléguant son rôle dans les problèmes de milieu de travail répandus de l’entreprise, la démission de Kotick a été exigée par de nombreux employés de l’entreprise, et bien qu’il ait été signalé qu’il envisagerait de démissionner si la situation ne pouvait pas être inversée sous sa direction, il est resté dans son position alors que le projet d’acquisition de la société par Microsoft fait l’objet d’une enquête par des organismes de réglementation du monde entier.

Cependant, si l’accord susmentionné devait échouer, Kotick pourrait ne pas se retirer, comme beaucoup s’y attendraient après l’échec d’une fusion. C’est selon un rapport publié par Fox Business, qui affirme, citant des “sources proches de la situation”, que bien que la confiance soit élevée au sein d’Activision Blizzard quant à l’approbation de l’acquisition, si elle échoue, Kotick “restera absolument à le géant du jeu pour diriger l’entreprise.

Si l’accord finit par être approuvé, cependant, des rapports antérieurs ont affirmé que Kotick pourrait finir par quitter son poste après tout.

Quant à savoir où en est le projet d’acquisition d’Activision Blizzard par Microsoft, les entreprises ont rencontré de nombreuses pierres d’achoppement au cours des derniers mois, un certain nombre d’organismes de réglementation dans le monde ayant soit pris des mesures, soit émis des avertissements contre l’accord, y compris la Federal Trade Commission des États-Unis. , l’Autorité de la concurrence et des marchés du Royaume-Uni et la Commission européenne.

Cependant, les deux sociétés resteraient confiantes de pouvoir défendre leurs arguments avec succès, tandis que certains analystes estiment que l’accord devrait être conclu d’ici la mi-mai malgré les obstacles susmentionnés.