Site agrégé d’avis Métacritique a confirmé qu’il mettrait en œuvre une “modération plus stricte” à l’avenir, après Horizon Interdit OuestLe contenu téléchargeable de Burning Shores a été critiqué en raison d’une relation LGBTQ+ avec le protagoniste du jeu.
Bien que Burning Shores détienne un Metascore agrégé de 82 parmi les critiques, son score d’avis soumis par les utilisateurs se situe actuellement à 3,9 sur 10.
Alors que certaines des critiques négatives critiquent l’histoire du jeu et sa courte durée, d’autres ont noté la critique négativement uniquement à cause d’une option de dialogue qui se traduit par un baiser entre le protagoniste du jeu, Aloy, et sa compagne Seyka.
L’inclusion d’une relation LGBTQ + a entraîné un certain nombre de critiques sectaires inondant la page Metacritic, les utilisateurs visant les «agendas» perçus du jeu et la «propagande éveillée».
Dans une déclaration envoyée à Eurogamer, Métacritique et sa société mère, Fandom, ont confirmé qu’elles prendraient des mesures pour réprimer les critiques “abusives”.
“Fandom est un lieu d’appartenance pour tous les fans et nous prenons très au sérieux la confiance et la sécurité en ligne sur tous nos sites, y compris Metacritic”, a écrit le site. “Metacritic est conscient des critiques abusives et irrespectueuses de Horizon Interdit Ouest Burning Shores et nous avons mis en place un système de modération pour suivre les violations de nos conditions d’utilisation.
“Notre équipe examine chaque signalement d’abus (y compris, mais sans s’y limiter, les insultes racistes, sexistes, homophobes, les insultes envers d’autres utilisateurs, etc.) et si des violations se produisent, les avis sont supprimés. Nous faisons actuellement évoluer nos processus et nos outils pour introduire une modération plus stricte dans les mois à venir. »
Un nombre de Métacritique les utilisateurs ont depuis affirmé que leurs avis précédents avaient été supprimés, les reposts de leurs avis originaux suggérant que les commentaires homophobes étaient à blâmer pour leur suppression.
Dans d’autres nouvelles sur les jeux, les employés de Sega ont demandé à se syndiquer, en partie parce qu’ils se sentaient “sous-évalués et surmenés”.
