Actualités / Jeux

La Commission du travail avance sur les accusations de droit du travail du syndicat contre Activision-Blizzard

Je suis excité pour l'argent !

Nous admettons qu’il est difficile de garder une trace de tous les méfaits que les Communications Workers of America ont dénoncés contre Activision-Blizzard (en plus de tous les autres comportements que l’entreprise a été trouvé en train de faire), mais cette histoire concerne un Plainte d’août 2022 de la CWA qui accusait ActiBlizz d’espionner les employés lors de manifestations prévues et de menacer de fermer les canaux Slack interentreprises ; à titre de rappel, le CWA avait déposé des plaintes auprès du Conseil national des relations du travail à ce sujet.

Le NLRB a depuis conclu l’enquête sur ces plaintes et a confirmé qu’il poursuivrait deux des trois accusations en question, en se concentrant sur la surveillance illégale de l’entreprise et une violation du droit du travail lorsqu’elle a menacé de désactiver les canaux de discussion ; l’accusation rejetée concerne une menace de fermeture d’une réunion, qui, selon CWA, violait les lois de l’article 7.

Blizzard a affirmé dans un communiqué que le chat dans les réunions avait été fermé en raison d’un “comportement toxique sur le lieu de travail”, tandis qu’un message du directeur administratif d’Activision-Blizzard, Brian Bulatao, dans une chaîne Slack de l’entreprise, affirme que le chat était “particulièrement perturbateur après que certains employés aient utilisé le chat”. dénigrer le travail de la Diablo Immortel équipe et autres. Il a également déclaré que la société “[suggested] une future modification de la politique Slack de Blizzard pour limiter le contenu harcelant dans les canaux de l’entreprise.

Si vous pensez que le fait qu’ActiBlizz se soit soudainement soucié de mots coquins alors qu’il était présidé par un PDG qui a menacé de faire assassiner son assistant sent le soin sélectif, eh bien, la CWA est d’accord ; il a riposté au studio en appelant ce qu’il pense être la véritable raison de l’arrêt de la chaîne Slack.

« Ce comportement flagrant […] est un autre exemple de l’entreprise qui utilise ses plateformes et ses outils pour contraindre et intimider les travailleurs exerçant leur droit protégé de s’organiser », lit-on dans la déclaration. “Ces actions, associées au licenciement illégal par Activision-Blizzard de travailleurs dénonçant leurs conditions de travail et à plusieurs autres actions illégales, montrent une tendance claire à ne pas respecter la loi dans le but de faire taire les travailleurs.”